13/06/2006 | 553964-3A
Le train électrique, la balançoire, l'odeur du placard, les tissus cachés, les greniers ouverts, les fauteuils devant la télé,
les contrevents ont beaux être clos
le film continue
sans fin
car le début n'a pas existé ;
seuls les rires et les larmes nourrissent encore les sourires
qui ne se terminent jamais
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