17/03/2006 | BOULOGNE BILLANCOURT
C’est une idée étrange et légère que de s’obstiner à photographier toutes ces laveries de tous genre. Aurai-je l’obsession de la blancheur et de la propreté ? Pas du tout, pas plus que cela. J’aime les tâches, celles visibles sur nos visages et nos regards égarés dans le dédale des rues et des heures. Et justement, dans cet entrelacs de la ville, je rencontre des lieux vides que hantent des âmes en quête de dignité. Celle de tout le monde. Vous savez, la blancheur du mouton que l’on voudrait tous dessiner un jour sur le sable !
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